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Quand reviennent les JAM : le printemps du graffiti
Peindre dans la rue, c'est aussi ça : accepter l'impermanence. Savoir que son œuvre pourra être recouverte, que le mur lui-même pourra disparaître.
Et pourtant, on peint.

ladouchefroideartists
27 avr.3 min de lecture
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